Témoignage : Serviteur Tony

Témoignage : Serviteur Tony

Aujourd’hui, je vous propose le témoignage de Serviteur Tony. Un de mes premiers soumis qui est venu à moi. Afin de faciliter la lecture et pour aider au référencement de l’article, j’y ai ajouté des titres et des mots de transitions. Le reste du texte est tel qu’il me l’a été envoyé. Je vous souhaite une très bonne lecture 🤗

Le Premier Contact :

Il y avait longtemps que je recherchais une rencontre BDSM digne de ce nom. Les quelques expériences que j’ai vécu m’ont laissé sur ma faim. Trop éloignées du caractère mythique et mystérieux que je m’en faisais.

Lors d’un voyage sur le site Ladyxena, mon regard s’est arrêté net sur la photo d’une Maitresse. Fine, élégante, au physique dessiné comme une déesse de l’Olympe ( ou d’une Jam’s bond girl  ). Subtilement drapée d’une combinaison en cuir noire, moulante à souhait.

De plus, le récit qui accompagnait les photos suffit à me persuader  qu’une femme intelligente et convaincue de son entreprise se dessinait derrière ses postures de reine domina.

En réalité, le doute n’était pas permis, je me devais de prendre l’attache de Maitresse Julia. Le 25 janvier, je me présentais par mail à notre chère Maitresse. Répondant à sa demande de faire connaître mon expérience, encore limitée…de préciser mes attentes, très réelles mais encore mal définies.

D’un côté, longtemps et toujours intéressé par les rencontres vanille, à condition qu’elles intègrent, elles aussi,  une part de complicité et d’émotions. De l’autre, je faisais connaître à Madame mon envie de me retrouver contraint à obéir aux ordres, de subir et de me soumettre aux vexations, aux punitions, peut être aux récompenses d’une maitresse femme. à fortiori d’une femme que je vénérerais,  qui m’imposerait sa  force mentale, son autorité, son charme, son charisme, son statut de déesse supérieure.

D’autre part, j’avouais à ce moment que ma carrière professionnelle m’avait amené à diriger de nombreuses femmes, avec beaucoup de respect toujours, mais avec autorité et qu’il me plairait aujourd’hui de voir les choses s’inverser.

La rencontre :

Imprégné des règles élémentaires fixées par Maitresse, le jour tant attendu est arrivé. Cela me conduit sur des routes de campagne, qui ajoutaient au charme de l’instant. Quand j’aperçu la coquette maison de campagne, située au milieu du village où m’avait convoqué Maitresse, un certain stress m’envahît.

La Femme merveilleuse, la Maitresse dominatrice que je n’osais espérer, était là devant moi, plus belle, plus grande, plus impressionnante, plus troublante que ne le laissaient deviner les photos. L’accueil fut très plaisant, rassurant, Maitresse me proposant de partager avec elle un café. Elle cherchait visiblement à comprendre mieux ma personnalité, tout en rappelant les règles, de sécurité notamment,  de notre rencontre.

Au bout d’un temps, agréable et emprunt de sincérité et de complicité, Maitresse me conduisit vers la douche. Elle me confia un habit de soubrette et des collants à enfiler. Notons que ce fut un exercice quelques peu complexe pour moi, exercice auquel je ne m’étais jamais livré. De fait, il me fallait ajuster ces vêtements féminins, inhabituels, me ramenant à l’état de serviteur. D’autant que je ne parle pas des collants qui eurent beaucoup de mal à accueillir ma virilité, dont je contenais difficilement la vitalité.

Un début de séance, de l’appréhension… :

Puis, je me décidais enfin, non sans appréhension, à ouvrir la porte et me découvrir comme tel devant Maitresse Julia. A l’époque, il s’agissait d’ailleurs de savoir si j’appellerais Maitresse, Maitresse Julia ou Déesse Julia… Le second patronyme fut alors retenu qui ne se pratique plus aujourd’hui. Un signe probablement de l’emprise renforcée exercée désormais par Maitresse sur mon être  profond.

Mais revenons à notre premier contact.

En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, j’étais, sur ses ordres, à genoux, à ses pieds, comme un toutou obéissant aux pieds de sa Maitresse. J’étais réduit à l’état de soumis, prêt à obéir à la moindre consigne de l’être supérieur. Avant que mes yeux ne puissent redécouvrir les merveilleuses lignes de Maitresse, gainée dans un élégant et fabuleux costume en cuir. J’ai dû embrasser avec une passion naissante ses divins pieds… D’abord, ses magnifiques escarpins brillants… Ensuite, ses collants enveloppant ses jolis petons… Que j’aurais préféré, je dois l’avouer,  dévorer de mes lèvres en mode nature.

Je subis ensuite quelques griffures et autres punitions, probablement à raison, dont j’ai conservé les traces quelques jours. Mon postérieur, dont Maitresse libéra allègrement l’accès, profita de « gentils coups de fouet ». Puis, il accueilli un plug prestement placé, préjugeant de manœuvres plus insistantes encore.

J’avoue que Maitresse mettait beaucoup de délicatesse dans ses engagements comme si elle cherchait à découvrir son nouveau sujet et à ne pas l’astreindre à des punitions trop excessives. Au moins pour cette première expérience. A chaque fois que je pouvais relever les yeux, je n’avais de cesse de contempler les lignes admirables et sans défaillance de Maitresse Julia.

En réalité, je ne sais plus d’ailleurs si je fus un temps les yeux bandés et la bouche bâillonnée, tant mon état devait traduire mon émerveillement. Et ce regard profond, parfois froid, parfois plus consentant qui me toisait et affirmait que ma place était celle du soumis, du dominé, de la soubrette, et même peut être de la carpette.

… A la soumission :

Puis, plus tard, mes mains furent menottés et suspendues à la chaîne qui descendait d’une poutre du plafond.

J’étais tout à coup complètement à la merci des initiatives de Maitresse qui pouvait, avec retenue m’a t’il semblé alors, exercer ses offensives sur mon corps sans défense. Mes tétons, mes fesses, mes attributs masculins étaient appelés à s’en souvenir. Même si nous étions loin encore des supplices connus aujourd’hui. Supplices que je dois le reconnaître, j’aspire à découvrir encore, encore et encore encore…

Ces moments de proximités, d’intimité partagée, d’érotisme parfois sensuel, parfois emprunt de sadisme, me procuraient les plus beaux émois… Mon corps se tendait… mon esprit s’échappait… mon cœur s’attendrissait.

Je pressentais déjà,  alors que c’était la première fois, que ces instants de haute intensité, seraient renouvelés.

Ainsi, je sentais que Maitresse Julia allait pouvoir nous emmener plus loin dans ses pratiques dominatrices. D’autant que je commençais à être submergé par ses savoirs et sa passion pour l’exercice. D’autre part, sa sincérité, son authenticité allaient me donner l’envie et la confiance pour découvrir ce monde nouveau pour moi.

Enfin, je venais de rencontrer une véritable dominatrice. Convaincue de son art, elle allait me faire découvrir une partie de ma personnalité que je ne connaissais pas bien encore. Celle d’un homme soumis, obéissant, attentif aux ordres de sa Maitresse, heureux de subir ses offenses, pourvu qu’elles soient appliquées par la Maitresse de ses rêves.

«  Viens ici petit chien, à quatre pattes… Viens te frotter aux jambes de ta Maitresse… Laisse aller ton penchant animal…fais toi venir… »

Puis, Maitresse Julia me rappelle tout à coup à l’évidence… Le temps a passé. Il est l’heure de conclure et j’avoue que je serais terriblement frustré si je ne pouvais atteindre ce moment d’extase. Magique, agréablement retardé, mais ô combien souhaité.

Après m’avoir subtilement encouragé, puis délicatement soutenu le temps du « retour sur terre », Maitresse m’a invité à rejoindre sa salle de douche pour retrouver une présentation et un état plus conformes aux exigences de notre civilisation.  

Le retour du témoignage de Serviteur Tony :

En conclusion, merci Maitresse Julia pour la qualité de cette première rencontre. Merci de faire aussi belle votre beauté et de nous confier votre jeunesse.

Egalement, de nous faire connaître vos hardiesses. De nous faire confiance et de partager avec nous en toute simplicité et complicité, vos initiatives merveilleuses… En un mot de nous faire aimer avec passion votre passion. De nous faire toucher au sublime et de nous faire découvrir une parcelle de notre personnalité que nous ne connaissions peut être pas vraiment.

Quelques autres rencontres ont suivi depuis, à Metz désormais, qui à chaque fois, m’amènent à partager des moments magiques avec Maitresse Julia. Même mes fantasmes et mes rêves les plus accomplis ne pouvaient me laisser deviner l’existence.

Si je devais faire partager mon expérience naissante, je dirais que :

• Se soumettre, Obéir, Subir, Servir… La gracieuse, sublime, inégalable, éblouissante Maîtresse de ses rêves.
• Être l’objet consentant d’une Femme au physique de Déesse. Ayant la jeunesse provocante, intelligente et certaine de son autorité. Confiante et imprégnée de sa passion.
• Me faire guider par Maîtresse Julia dans les méandres mystérieux et jouissifs de la D/S. Tout en découvrant en toute complicité, harmonie et confiance, les facettes illimitées.
• Enfin, quoi de plus stimulant et épanouissant pour l’homme que je suis. Je découvre avec Maîtresse Julia une nouvelle et extraordinaire passion.

Le Témoignage de Serviteur Tony – Les mots de Maîtresse :

Mon cher serviteur Tony, c’est une véritable lettre emplie de passion que j’ai reçu par mail et que voici. J’ai eu grand plaisir à lire ce retour que tu m’as fais et suis enthousiasmée par ces compliments et cette découverte à mes pieds. Tony est toujours un soumis que j’ai grand plaisir à recevoir. Que cela soit en séance ou hors séance, Tony a toujours un respect infaillible et j’ai un plaisir tout à fait certain, à chaque rencontre, à te regarder au plus profond de tes yeux. Il y a tellement de choses à y lire. Le chemin de notre relation sera long, j’ai beaucoup de projets pour toi ! A la hauteur de ta loyauté !

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