Témoignage de Sophia, Mon avaleuse de Sperme bonne à baiser.
Cette fois, je vous présente le témoignage de Sophia, l’avaleuse de sperme bonne à baiser. Oui . Mais avant de devenir cette bonne petite salope comme elle aime désormais le clamer, il a fallu combattre les à priori. Retour d’expérience grâce à ce superbe témoignage.
L’entrée en Matière : La sidération !
Maîtresse Julia, me voici enfin à vos pieds. A genoux, la bouche ouverte, les lèvres et la langue offertes. Je vous accueille avec délectation au fond de ma gorge. Depuis le temps que j’attendais ce moment… Je donne le meilleur de moi-même et cela semble vous satisfaire. Je pourrais rester pendant des heures à vous sentir aller et venir, tout en délicatesse puis de plus en plus énergiquement. Vous m’honorez de votre crachat ; je savoure chaque goutte, en m’imaginant qu’il s’agit d’une substance un peu plus blanche et gluante. Une salope soumise. Voilà ce que vous avez fait de moi.
Pourtant, dans les premiers instants de cette expérience intime et intense, je n’osais dire un mot, j’entendais à peine ce que vous me disiez. Face à votre beauté et votre prestance, j’arrivais tout juste à respirer. Face à votre regard perçant et envoûtant, j’étais comme pétrifiée, même si vous faisiez tout pour me mettre à l’aise. Vous avez dû répéter certains ordres, et je m’en excuse. Pas facile de se comporter instantanément comme une sissy bonne à baiser.
Moi, V., père de famille quadragénaire, j’ai monté vos escaliers en tremblant. J’avais prévu de m’incliner immédiatement et d’embrasser la pointe de vos escarpins, mais je n’ai pas osé. Et j’ai attendu avant de me séparer des vêtements passe-partout d’homme qui recouvraient mes bas, ma jupe en cuir, mon soutien-gorge et mon top en satin. Une touche de douceur et d’élégance dissimulée sous une couche de faux-semblants.
Je vous ai montré les tenues que j’avais sélectionnées et, comme si vous lisiez dans mes pensées, vous avez choisie la robe en wetlook si sexy que j’avais achetée spécialement. Vous m’avez ordonné de glisser mes pieds gainés de nylon dans une paire de talons hauts. Une première pour moi. Vous n’avez pas eu à insister, je ne rêvais que de cela… Et comme je l’espérais, vous m’avez entravé, vous avez emprisonné mon membre ridicule et inutile dans une cage presque trop grande pour lui. Vous n’aviez alors plus qu’à parfaire ma transformation.
Libération et soumission :
Oui, moi, V., je suis une sissy bonne à baiser. Il m’a fallu un peu de temps pour l’accepter, mais une fois que ma personnalité enfouie s’est révélée, je me suis libérée. Je vous ai avalée, vous m’avez pilonnée, j’ai gémi comme une chienne, réclamé comme une pute, mouillé comme une salope, gloussé, minaudé. J’en voulais encore et encore, vous m’avez donné beaucoup, énormément et même bien plus. Et, comme une évidence, j’ai aspiré sans hésiter ma semence. Je ne suis bonne qu’à cela, moi qui ne peux me contenter que d’orgasmes ruinés.
Plusieurs mois ont passé. Je dois le reconnaître, j’ai eu honte de m’être avili de la sorte. Je me suis détesté de m’être comporté comme une traînée. Alors j’ai tenté de revenir dans le droit chemin, de jouer mon rôle de mari aimant en tâchant d’oublier ma face cachée. Mais depuis quelques semaines, je me suis remise à porter des soutien-gorge et des nuisettes sous mes vêtements de père de famille. Et l’autre nuit, j’ai rêvé de vous, Maîtresse Julia… Je croisais votre regard au milieu d’une foule au milieu d’une rue au milieu d’une ville. Vous agissiez sur moi tel un aimant. Et comme une évidence, je m’agenouillais, heureuse à la perspective de vous obéir. Fière que vous daigniez m’accorder votre attention.
Depuis ce songe, je m’imagine vous avalant goulument, écartant les cuisses et frémissant sous vos coups de boutoir. Seule vous, Maîtresse Julia, connaissez cette version de moi.
Révélation :
Il est donc temps de le reconnaître : “Moi aussi je suis une femme”. Voilà la phrase qui me brûle les lèvres, parfois plusieurs fois par jour. Lorsque je sens le doux contact de la soie sous mes vêtements, lorsque j’entends le délicat froissement d’une jupe, lorsque je profite du magnifique spectacle de la féminité et que je l’envie, tout simplement. Mais parce que je tiens à mon épouse, à mes enfants, à la vie que j’ai construite depuis plus de vingt ans, je ne la prononcerai pas à voix haute. Cela va peut-être vous paraître bizarre, mais je suis heureuse dans ma peau d’homme marié. Je m’acommode de cette dualité cachée.
Quand j’étais ado, j’aimais m’endormir en m’imaginant entrer dans une boutique de lingerie. J’y croisait le regard d’une vendeuse qui comprenait instantanément mon tourment. Elle m’invitait à entrer dans une cabine magique, pressait un bouton, et mon corps se transformait. J’étais enfin dans la peau d’une femme. Je pouvais alors profiter de l’incomparable lourdeur de mes seins, de la chaleur de ma chatte. L’extase. Puis mes attributs masculins réapparaissaient, car cette transformation n’était que momentanée.
Ce rêve fou, vous m’avez permis de le réaliser, Maîtresse Julia. Vous êtes la magicienne de mon rêve ultime, celle qui a rendu l’impossible possible. Je ne vous en remercierai jamais assez.
Je suis une femme, et j’ai acheté une nouvelle jupe qui me sied à merveille. Des talons hauts, aussi. J’espère pouvoir vous les montrer bientôt. Cette fois j’aurai peut-être le courage de m’incliner dès votre porte franchie, d’ôter sans attendre ma couche de faux-semblants, et de déposer un baiser sur vos escarpins, avant de m’offrir à votre bon vouloir.
Vous m’aviez suggéré de trouver un prénom reflétant ma nouvelle condition de sissy. J’avais pensé à Sophia, mais qui suis-je pour décréter cela ? Je ne suis qu’une soumise. J’aimerais vous laisser décider, j’accueillerai le nom que vous aurez choisi avec plaisir.
Dépravation :
Moi V., soumise de Maîtresse Julia, sissy bonne à baiser, je suis une femme qui aime avaler. Quelques jours avant notre prochaine rencontre, je remplirai un préservatif de ma semence, encore et encore. J’espère que, durant notre séance, vous accepterez de le vider au fond de ma gorge, afin que je profite de cette substance blanche et gluante si appétissante. Ça sent bon, le sperme.
J’aurai trop honte de faire cette demande de vive voix, je la formule donc ici, en conclusion de mon témoignage. Pouvait-il en être autrement de la part d’une salope soumise ?
Respectueusement.
V., avaleuse de sperme, soumise de Maîtresse Julia.
Les Mots de Maîtresse :
Sophia (Tu as donc ici ta réponse 😏🔥), j’ai aimé et adoré nos jeux. Quel plaisir de pouvoir vous permettre de vous révéler à vous même. L’acceptation entière et pleine de soi permet de se rendre à l’évidence de ce que nous sommes au plus profond de chacun de nous et de mieux faire face au quotidien.
Et c’est un réel plaisir que j’ai de pouvoir mettre en place une safe place sans jugement pour pouvoir être soi ! Donc, à très bientôt ma chère Avaleuse de Sperme bonne à baiser !
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