Rubber Gimp – Soumis Fétichiste du Latex

Rubber Gimp – Soumis Fétichiste du Latex :

A la suite du jeu concours de ma seconde Newsletter, je vous livre le témoignage de Rubber Gimp, soumis fétichiste du Latex. Afin de faciliter la lecture et pour aider au référencement de l’article, j’y ai ajouté des titres et des mots de transitions. Le reste du texte est tel qu’il me l’a été envoyé. Je vous souhaite une très bonne lecture🤗

Rubber Gimp – Esclave à demeure :

Je me prénomme Rubber, j’ai 28 ans et j’habite Metz.

Tout d’abord, j’ai été Rubber Gimp, esclave à demeure, pendant 9 mois auprès d’une Maîtresse à l’âge de mes 24 ans. J’ai assez mal vécu cette rupture et mis le BDSM de coté pendant un long moment.

Puis, à force de rencontre vanille, je me suis rendu compte que cette vie-là n’était pas faite pour moi. Je me sentais heureux et épanouis en tant qu’esclave couvert de latex, en tant que Rubber Gimp.

D’ailleurs, il m’a fallu du temps, mais j’ai commencé a cherché des Dominatrices/Maîtresses en Moselle et aux alentours. Mais je ne trouvais personne d’assez « bien ». Beaucoup de dominatrices uniquement attirées par l’argent, personne qui ne comprenne le mot BDSM et un détail qui m’a beaucoup bloqué : le latex.

En réalité, c’était un frein pour beaucoup de dominatrices de dominer un Rubber Gimp et de réellement comprendre ce terme. Puis… Lumière divine tombée du ciel tel un ange déchu (ou plutôt une diablesse directement venue de l’enfer), je tombe sur le site de Maîtresse Julia.

Ni une ni deux, je lui envoie un mail (pas assez confiant pour l’appeler directement et surtout peur de la déranger).

Le contact, les échanges :

Elle me répond très rapidement et se dit très enthousiaste à l’idée de mon profil, qu’elle n’avait jamais exploité. Il ne m’en fallait pas plus pour être excité à l’idée d’une séance avec Maîtresse Julia. Elle me propose un appel téléphonique pour voir ce que l’on pourrait faire et nos attentes mutuelles.

Le moment de l’appel arrive… Le téléphone sonne, le numéro « Maîtresse Julia » apparaît (je l’avais enregistré via son site), le stress monte, je décroche, bégaye un petit :

• Al… Allô ?

Et là… Un feeling extraordinaire que je n’avais eu avec aucune dominatrice auparavant. On discute, on rigole, tout en parlant de la séance, de nos attentes, nos recherches, etc… Et le stress redescend immédiatement et c’est une confiance qui commence à s’installer alors que je ne l’ai jamais vu, mais uniquement entendu. Soit, je me dis que la séance ne peut que bien se passer !

On convient donc d’une date pour une première séance. Revoilà le petit stress qui monte de rencontrer une personne aussi charismatique et grande par la voix, alors qu’est ce que cela doit être en vrai…

Arrivée sur les lieux, le stress :

Après quelques reports (assez rigolo par ailleurs, mais qui nous font des anecdotes à raconter maintenant). Le jour J est là. Je prépare mon sac (remplis de latex avec tenue intégrale, gants et cagoules) monte dans la voiture et je roule. Aucun stress en vue bizarrement… J’arrive au lieu indiqué, me gare sur le parking (très agréable d’ailleurs, cette facilité d’accès et ce parking a quelques mètres du donjon.). J’envoie un petit message pour signifier mon arrivée. Elle me répond que je peux sonner et c’est là que le stress arrive…

Vais-je arriver à monter ses marches pour la rejoindre ? Est-ce que je ne vais pas la décevoir ? Et si ce n’était qu’un rêve et que ça ne matche pas ? Soit ! Mais maintenant, que je suis là, je ne ferai pas marche arrière. Je vais prendre mon courage à deux mains et je… La porte s’ouvre et là, ce n’est pas un ange, mais une déesse directement qui m’accueille.

Je vois une femme très grande, perché sur ses haut-talons cuissardes en vinyle, un visage angélique, lumineux, souriant qui m’accueille avec bienveillance. Non, c’est sûr, cette fois, c’est la bonne personne. C’est la Maîtresse que j’ai envie de satisfaire et de rendre heureuse.

J’ai barré le mot Cuissarde 😅 C’était bel et bien des bottes comme tu l’as justement écrit plus bas !
Ps : Pour les anecdotes et les reports, j’ai aimé le passage « Vais-je arriver à monter ses marches pour la rejoindre ? » Il s’avère que j’ai dû justement annuler notre première rencontre à la suite d’une chute sur ces dites marches… Voilà, chers lecteurs, vous savez tout !

Maîtresse Julia

Quand je rentre, j’aperçois un grand espace de jeu, avec une table et beaucoup d’instruments et accessoires BDSM posés dessus. Aucun doute, Maîtresse Julia s’y connaît et ça se voit tout de suite. Ambiance légèrement tamisée, mais pas trop, petit fond sonore qui déstresse. Madame propose immédiatement un café ou une boisson pour entamer la discussion d’avant séance. Chose que j’accepte volontiers, tellement ma gorge était sèche et enrouée (Ça ne s’est peut être pas vu Madame, mais j’étais stressé face à vous mine de rien !).

Un soumis fétichiste du latex :

On discute de nos attentes, on rigole sur le fait que l’on se rencontre enfin, on parle des pratiques que l’on aime, des choses que l’on aimerai faire, ce que l’on a testé, mais pas aimé, de nos expériences passées.

Et en discutant avec Maîtresse Julia à ce moment, ce n’est pas à la Maîtresse que l’on parle, mais avec la Femme, a l’écoute. C’est tellement agréable d’avoir ce genre de discussion pour déstresser et en apprendre plus sur l’un et l’autre.

Une fois cette petite…longue discussion ? Je ne sais déjà plus quelle heure il est tellement on est perdu dans l’espace-temps en présence de Maîtresse Julia. Ainsi, elle m’accompagne jusqu’à la salle de bain (magnifique et très bien décoré au passage, ambiance très zen et relaxante). Elle me dit de prendre une douche et… l’enfilage de la tenue intégrale en latex qui me transforme en Rubber Gimp ! Madame décide que je lui montre mes diverses cagoules et tenues avant que j’aille dans la douche. Et la une nouvelle discussion commence autour du latex et je vois ses yeux briller de mille feux. Très intriguée par la matière, elle me regarde et me dit :

– J’adore, je ne me suis pas trompé sur toi et j’ai hâte de te voir dans cette tenue tout à moi !

Le ton est donné, Madame part et je m’empresse d’aller dans la douche puis d’enfiler ma tenue en latex.

La séance :

La séance commence et je vais vous passer tous les détails. Mais je peux vous dire que j’ai été aux anges tout le long. J’ai rarement autant adoré ma place qu’avec Maîtresse Julia !

Elle est autoritaire tout en étant douce et dès qu’il le faut, elle sait être dure et sadique. Ce n’est pas du genre à vous laisser attaché dans un coin et partir. Non non, elle s’occupe littéralement de vous tout du long ! Aucun moment de répit et Madame est experte dans ce qu’elle fait.

Je finis enroulé de cellophane par-dessus ma combinaison intégrale en latex (bonjour la chaleur oui !), position très inconfortable, bras en croix sous la cellophane, totalement enveloppé, impossible de bouger ou de faire quoi que ce soit. Madame me tourne autour et commence à me mettre des coups de fouet, de martinet ou je ne sais quoi, je ne vois pas et ne suis là que pour son plaisir.

En fait, ça fait mal, je souffre, mais j’adore ça et elle le sait. Elle rapproche ses bottes de ma tête et me demande de m’en occuper. Je m’exécute donc et commence à lécher langoureusement ses magnifiques bottes qui me font de l’œil depuis le début. Puis, BOUM, des gros coups recommencent sur mon derrière avec un mélange de ballbusting, je gémis et elle rigole. À ce moment, les places étaient bien distinctes. J’étais son soumis, son esclave, son jouet, son Rubber Gimp. Elle était la Maîtresse, l’entité supérieure qui avait une totale emprise sur moi.

Elle me retourne sur le dos pour s’occuper de l’avant et commence à me masturber, je me retiens, mais c’est plus fort que moi. Je n’y arrive pas, mais ne veux pas la décevoir. La tentation est trop forte, je suis trop tendu, je lui dis donc :

– Madame, pitié, je ne vais pas tenir, je vais jouir.

Et elle me répond :

– Tu ne jouiras que quand je t’en donnerai l’ordre !

Et elle commence à faire un décompte de 10 et me dit que je pourrai jouir à la fin.

Fin de séance et notion du temps :

Au final, j’ai résisté et je n’ai pas joui, mais c’était énormément dur. Maîtresse me dit être fier de moi et commence a enlever le cellophane. Elle me le donne et me dit de l’accompagner jusqu’à la poubelle, histoire que je connaisse un peu les lieux si je veux la servir plus tard et me regarde en rigolant.
(son rire et sourire ferait craquer n’importe qui, croyez moi…)

Et cela signe la fin de la séance.

Je retourne donc dans la salle de bain, Maîtresse Julia m’aide à enlever ma tenue en latex et je pars à la douche. C’est à ce moment, sous cette douche, que je repense à tout ce qui s’est passé, c’est merveilleux, angélique. J’ai complètement perdu la notion du temps et vous savez que quand ça vous arrive, c’est que vous passez un moment unique, merveilleux.

En sortant de la salle de bain, Maîtresse Julia me propose de nouveau à boire pour discuter de cette séance et du futur. Je ne vous dirai pas ce qui s’est dit lors de cette discussion bande de petits voyeurs, mais c’était incroyable et génial.

C’est inexplicable :

Pour résumer ma première rencontre avec Maîtresse Julia, c’est quelque chose que je n’oublierai jamais, un moment unique.

Il y a peu de monde sur cette terre qui me font de l’effet et avec qui j’ai un lien qui se crée lors d’une première vue, première rencontre. Et bien c’est exactement ce qu’il s’est passé avec la présence de Maîtresse Julia, c’est inexplicable, mais quelque chose s’est crée et s’est déclenché en moi envers cette merveilleuse personne.

Je n’ai qu’une hâte maintenant, c’est de la revoir et de la servir comme il se doit. D’évoluer pour la satisfaire encore plus.

Alors pour tout ça, merci Maîtresse Julia et, je l’espère, a très bientôt. En m’inclinant devant vous.

Cordialement, Rubber – Soumis fétichiste du Latex.

Conclusion :

En conclusion, la rencontre avec Rubber était clairement ma première expérience aussi pointue et avancée avec le latex. Voir un soumis fétichiste du latex, entièrement revêtu de cette matière, était une chose que je voulais absolument connaître. Cette sensation d’avoir une personne sur qui nous pouvons mettre un visage, puis l’anonymisation lors de la séance… J’avais l’impression d’avoir un véritable objet impersonnel sous mon emprise. Quel véritable plaisir ! Je voulais depuis plusieurs mois, organiser un voyage afin de me procurer du latex… Mais l’inconnue de cette matière faisait repoussé ce voyage à des dates inconnues ! Cette rencontre avec Rubber, m’a poussé à aller en Allemagne… 2 semaines après ! Vous pouvez d’ailleurs retrouver l’article sur la boutique que j’ai eu plaisir de visiter juste ici.

Cette rencontre a été pour moi d’une intensité tout à fait phénoménale et a réveillé en moi une passion envers le latex et cette sensation que la matière donne à notre peau … 🤩🤗

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